Fin de partie – lever de rideau

J’arrête ce matin mon défi de publier un - court - article chaque jour. J’avais prévu de continuer jusqu’au 1^erseptembre pour enchaîner pendant exactement 365 jours… et puis j’ai changé d’avis :

. Si j’en ai fait 326, monter à 365 ne change rien
. Aujourd’hui le vrai défi pour moi… c’est d’arrêter avant la fin
. Et surtout j’ai envie de creuser le sujet de la créativité au travail à l’ère de l’IA - autrement. 

J’ai un sujet qui m’obsède depuis le début de ma carrière : comment être un artiste dans son job. 

Comment faire de toutes les contraintes des opportunités de création.

Comment mettre joyeusement toute sa personnalité au service d’une organisation.

Comment exulter personnellement dans des systèmes émotionnellement pauvres.

La saison prochaine, quand je ne serai pas en formation ou coaching, je vais me consacrer à ces sujets qui me semblent encore plus essentiels avec l’avènement de l’IA.  

L’avenir du travail, ça n’est pas l’IA. C’est la créativité unique de certains, et de tous ceux qui feront l’effort de retrouver cette source.

Les machines n’ont pas révolutionné la production de voitures. C’est Henry Ford, qui a eu l’idée de la standardisation et de la chaîne de montage.  

L’IA nous permettra de concentrer notre énergie et notre temps sur ce qui n’appartient qu’à nous. Ou elle nous mettra sur des voies de garage.  

Alors que tout le monde réfléchit aux moyens d’apprendre à utiliser l’IA… comme tout le monde, je veux réfléchir aux moyens pour rester curieux, originaux, et émerveillés.  

Les machines nous fournissent une puissance de calcul, une mémoire, une masse d’informations inégalées ? Concentrons-nous sur ce qui fait de nous des humains.

D’ici la fin août, je vais continuer à creuser ces sujets. À partir du 5 septembre, je vous retrouverai chaque semaine en podcast vidéo et audio. Vous pouvez vous abonner dès maintenant si ce que je vous ai proposé cette année vous a plu.

Passez un bon été, et rendez-vous le 5 septembre !